Experte en Micronutrition et Spécialiste en Phytothérapie depuis 15 ans
Avant d’aller plus loin, je me présente, afin de vous rassurer sur la pertinence de ce que je vais vous écrire, qui relève de mes compétences, des connaissances accumulées par moi depuis le début de ma carrière.
Je me nomme Sophie Berthier. Multi-diplômée, je suis responsable du département « Recherche et Développement » du Laboratoire Nutr’Innov.
À ce titre, je dirige l’équipe pluridisciplinaire chargée de la formulation innovante de nos nouveaux produits.
Mon expertise couvre l’ensemble des spécialités de la « naturopathie » : nutrithérapie, phytothérapie, aromathérapie, gemmothérapie, apithérapie, algothérapie, mycothérapie, lithothérapie…
Mon éthique personnelle me pousse depuis 15 ans à trouver des solutions pour réguler de façon naturelle les multiples et chroniques dysfonctionnements qui affectent l’organisme humain.
Mon attention se porte en particulier sur les problèmes spécifiques que rencontrent les personnes qui vieillissent. À savoir les affections dégénératives dont les conséquences réduisent l’espérance de vie.
Sans parler des nombreux troubles qui empoisonnent l’existence, s’aggravant avec l’âge. Mon but est d’aider les personnes qui en ont besoin à restaurer la santé, le bien-être, la beauté, la sexualité, la forme, l’énergie, la mobilité, la vitalité.
Je vais vous informer aujourd’hui sur les multiples propriétés d’une précieuse molécule.
Vous avez la possibilité d’être l’architecte de votre corps et d’œuvrer à sa restauration
Grâce à une molécule pluriactive, multifonctionnelle, qui va vous permettre de « restaurer/régénérer » avec efficacité tout à la fois vos cartilages, vos os, vos dents, vos muscles, vos tendons, vos ligaments, vos cheveux, vos ongles, sans oublier l’essentiel : votre peau.
Mais cette molécule régénératrice pose un problème. Un gros problème.
Au fur et à mesure que vous vieillissez, sa concentration dans les tissus de l’organisme diminue. Ce processus dégénératif s’accélère après 50 ans. Il s’aggrave dangereusement après 60 ans. Après 70 ans, c’est une véritable catastrophe, votre corps tombe en ruines.
Connaissez-vous cette molécule ?
Il s’agit d’une protéine qualifiée à juste titre de « structurante ». C’est-à-dire qu’elle contribue à l’édification des tissus de l’organisme. Un authentique matériau de construction. Je devrais plutôt écrire « matériaux » au pluriel. Elle est en effet les briques et le ciment du corps humain mais aussi l’acier, le bois, les isolants des murs…
C’est elle qui constitue la charpente du corps, son armature, à savoir l’ossature autour de laquelle sont amarrés les muscles eux-aussi porteurs et eux-aussi constitués en majorité de cette molécule.
Cette molécule est également le composant principal de vos cartilages dont on connaît l’importance de leur intégrité pour la sauvegarde articulaire.
Elle est aussi prépondérante du derme, ce qui lui vaut, à ce titre, le surnom de « Fontaine de Jouvence » en rapport avec son action anti-âge, présente également en quantité massive dans les cheveux et les ongles.
Molécule majoritaire de la matrice extracellulaire, cette substance absolument vitale qui assure la cohésion de l’organisme, remplissant l’espace entre les 100’000 milliards de nos cellules.
Elle est capable de flexibilité, de souplesse, d’élasticité. Que de qualités ! Une véritable bénédiction pour l’organisme qui ne peux s’en passer !
Cette molécule a même aujourd’hui des utilisations chirurgicales sous forme d’implants (chirurgie traumatique), de compresses accélérant la cicatrisation des lésions cutanées.
HEUREUSEMENT : l’organisme humain a la capacité de produire lui-même cette molécule à partir des protéines contenues dans l’alimentation quotidienne.
Protéines animales : viande rouge, volaille, poisson, crustacés, coquillages, charcuterie, lait, fromage.
Protéines végétales : légumineuses, céréales complètes, fruits secs.
Ce sont les cellules de votre corps qui font la synthèse de cette molécule :
MALHEUREUSEMENT : je l’ai évoqué plus haut, cette capacité diminue toute notre vie. C’est entre 20 et 30 ans que les fibroblastes, les ostéoblastes et les chondroblastes sont au summum de leur activité pour produire cette molécule afin de pouvoir satisfaire nos besoins.
Dès l’âge de 30 ans, et jusqu’à 40 ans, on considère que la concentration de notre organisme en cette molécule diminue de 1% par an (soit 10% en 10 ans) notre capacité à en faire la synthèse.
Entre 40 et 50 ans la perte s’accroit, évaluée à 1,5% par an (soit 15% en 10 ans).
On se retrouve à 50 ans avec 25% de cette molécule en moins dans nos cartilages, nos os, nos dents, nos muscles, nos tendons, notre peau…
Le déficit est de 40% à 60 ans ! De 55% à 70 ans !!! De 70% à 80 ans…
Peu à peu, c’est inexorable, impitoyable, avec l’âge :
Indélébiles, vraiment ? Pas du tout. Si vous ne faites rien, bien sûr…
Mais si vous vous prenez en main, vous pouvez stopper les processus du vieillissement de votre corps, inverser votre horloge biologique, remonter le temps.
Tout cela grâce à une supplémentation nutritionnelle massive de cette molécule (10 grammes par jour) et de longue durée (3 à 12 mois selon votre âge), vous allez littéralement RAJEUNIR !
Grâce à une supplémentation nutritionnelle en cette molécule.
Supplémentation massive (10 grammes par jour, j’y reviendrai).
Supplémentation de longue durée (3 à 12 mois) en rapport à votre âge.
Elle est en effet le composant majeur des cartilages (les autres étant l’élastine et les glycosaminoglycanes). C’est elle, grâce à sa structure fibreuse ultra résistante, qui assure la cohésion des cartilages, leur capacité de traction, leur souplesse, leur flexibilité nécessaire à la mobilité articulaire. Mais pour les cartilages, il ne fait pas bon vieillir :
On connaît les signes de la dégénérescence qui affecte les cartilages en vieillissant :
Cette affection dégénérative porte un nom bien connu : l’arthrose.
Etes-vous personnellement touché par l’arthrose ?
Si c’est le cas, je vous recommande vivement une supplémentation nutritionnelle massive de cette molécule. Elle va vous permettre de régénérer vos cartilages, résorber votre inflammation, apaiser vos douleurs, et retrouver votre mobilité perdue.
…. Vous n’avez plus d’autres choix que de vous rendre chez votre médecin traitant.
A ce jour, la plupart des médecins ont pour habitude de vous prescrire des médicaments anti-inflammatoires pour soulager vos douleurs.
Bien que ces médicaments puissent vous apporter un soulagement temporaire sur vos douleurs articulaires, ils peuvent également causer des effets secondaires indésirables au niveau digestif.
« Je tiens à vous alerter des dangers que peuvent représenter les anti-inflammatoires sur votre estomac ! »
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que l’ibuprofène et le naproxène irritent la muqueuse de l’estomac, entraînant des ulcères, des saignements et d’autres problèmes gastro-intestinaux telles que nausées, crampes d’estomac, diarrhées. Ces effets indésirables sont encore plus préoccupants pour les personnes qui souffrent déjà de problèmes d’estomac ou qui ont un historique de troubles gastro-intestinaux. Et leur usage permanent peut entrainer des ulcères d’estomac, jusqu’à une atteinte sévère du foie et des reins. C’est pour cela que votre médecin, vous prescrit en même temps des antiacides pour soulager votre estomac.
Cependant, à force de masquer la douleur de toute part sans réellement résoudre le problème, vous n’avez plus d’autres alternatives que de penser à l’opération.
La pose de prothèse de la hanche et du genou, est aujourd’hui un acte chirurgical très au point mais qui comporte néanmoins de nombreux risques :
Ce n’est pas hasard si l’on vous fait signer une décharge qui ôte toutes responsabilités du praticien pendant l’opération.
Avant de prendre une décision qui pourrait être lourde de conséquence, je vous encourage vivement à poursuivre votre lecture.
Grâce à un geste quotidien que je vais vous faire découvrir, vous allez à nouveau pouvoir retrouver une mobilité parfaite, des articulations sans douleurs, et une belle qualité de vie.
Vous avez 206 raisons supplémentaires de faire une cure de cette molécule. Pourquoi 206 ? C’est le nombre d’os qu’il y a dans votre corps.
Des os qui en vieillissant deviennent très fragiles.
Elle représente la meilleure amie de vos os, étant leur principal composant, avec le calcium. On ne le dira jamais assez, l’ossature est la charpente du corps, ayant une fonction mécanique, point d’ancrage des muscles, des tendons, des ligaments, des tissus conjonctifs.
Sans oublier sa fonction protectrice pour les organes :
Or les os sont des tissus vivants.
Jusqu’à la fin de la croissance, le corps, augmente sensiblement sa masse osseuse. Puis la masse osseuse se renouvelle dans la proportion d’environ 20 % par an. Mais cela ralentit à partir de la quarantaine, et le ralentissement s’aggrave à la cinquantaine. La carence en cette molécule se fait alors sentir de plus en plus en prenant de l’âge.
Prenons l’exemple de l’ostéoporose. Les œstrogènes ont entre autres fonctions celle de faciliter l’assimilation des composants du tissu osseux.
Quand la sécrétion de ces œstrogènes se tarit, à la ménopause, la raréfaction de la masse osseuse commence, à raison de 1% par an. Une femme de 80 ans, en 30 ans, perd environ 30 % de sa masse osseuse, ce qui est absolument considérable. Les os deviennent poreux. Une simple chute, un geste brusque mal contrôlé peuvent provoquer une fracture. Devenus très fragiles, ils se brisent comme du cristal.
Cette perte de densité osseuse a nombre de conséquences :
Chez les hommes il existe aussi plusieurs facteurs de risques :
L’ostéodensitométrie osseuse permet une appréciation de la perte de masse osseuse aussi bien chez la femme ménopausée que chez l’homme qui prend de l’âge. Cet examen est omniprésent dans les études cliniques (référencées plus loin) qui ont expérimenté le grand intérêt d’une supplémentation nutritionnelle en cette molécule structurante de la charpente osseuse de l’organisme. Mais pas n’importe laquelle.
On trouve cette molécule sous des formes peu assimilables sur Internet, sur les réseaux sociaux, dans les boutiques même, y compris les pharmacies, les parapharmacies.
Soyez vigilants quant à ces provenances aux vertus aléatoires.
Attendez mes recommandations, car je ne vous ai pas tout dit…
Cette molécule contribue effectivement à développer la masse musculaire. Sa nature fibreuse facilite la contraction des muscles.
Elle améliore leur résistance mécanique, leur réactivité lorsqu’ils sont sollicités avec une intensité supérieure, dans la pratique d’un sport. Le développement musculaire que cette molécule induit permet d’améliorer les performances des sportifs.
Quelques soit votre âge, en cas de traumatisme sévère (élongation, déchirure, claquage), votre médecin vous conseillera une supplémentation de cette molécule, mais cela vous concerne également si vous pratiquez une activité physique une ou plusieurs fois par semaine.
Les études cliniques ont démontré que la perte de masse musculaire est inévitable avec l’avancée en âge. Cette diminution musculaire, communément appelée sarcopénie, est souvent associée au processus naturel du vieillissement et peut être accélérée par divers facteurs tels qu’une alimentation insuffisante, un manque d’activité physique et certaines conditions médicales. Après l’âge de 50 ans, cette condition peut grandement affecter la vie quotidienne, restreignant vos mouvements et vos déplacements.
Pour mémoire, un tendon est la partie d’un muscle qui permet à celui-ci de s’attacher à un os. Ce prolongement musculaire qui se fixe sur le muscle est quasi intégralement constitué de cette molécule dont les faisceaux de fibres confèrent au tendon son extrême résistance.
Cela permet aux tendons de résister aux sollicitations des contractions musculaires qui peuvent être violentes dans certaines circonstances, lors de la pratique d’un sport. La résistance des tendons va de pair avec leur flexibilité. Il s’agit d’un tissu conjonctif vraiment original.
Une sollicitation tendineuse trop intense, dans la pratique de certains sports, provoque une tendinite, inflammation douloureuse et handicapante qui entraine une interruption prolongée de ce sport.
Une supplémentation nutritionnelle s’impose, par exemple, dans le cas d’un joueur de tennis souffrant d’épicondylite (tennis elbow).
Là encore des études cliniques (référencées plus loin) valident une telle supplémentation dans ce cas. Encore faut-il pour être efficace utiliser une forme bio-assimilable de cette molécule, je ne le redirai jamais assez.
La rupture d’un tendon est plus grave encore, comme celle du tendon d’Achille qui relie le mollet au calcanéum (os du talon). Dans ce cas, une supplémentation prolongée s’impose.
Ces autres tissus conjonctifs sont eux-mêmes essentiellement constitués de cette molécule dont je ne vais pas tarder à vous révéler l’identité.
Les ligaments sont des cordons fibreux très résistants, élastiques, qui relient les os les uns aux autres dans une articulation.
Pour prendre l’exemple du genou, articulation ô combien complexe, celui-ci comporte 4 ligaments (latéral interne, latéral externe, croisé antérieur, croisé postérieur).
Il est vrai que la capsule articulaire du genou renferme 4 os : le condyle du fémur, la rotule, le tibia, le péroné.
La rupture d’un ligament, pour un sportif, est un grave traumatisme qui implique une longue indisponibilité.
Une supplémentation nutritionnelle est précieuse dans ce cas.
Elle est en effet omniprésente dans la cavité buccale.
Composant de la dentine, partie principale des dents, qui est recouverte par la couche d’émail, recouvrant elle-même la pulpe interne.
Cette pulpe des dents est un tissu conjonctif qui concentre également une grande quantité de cette molécule clé.
On la retrouve dans le cément du parodonte, cet os (recouvert par la gencive) dans lequel s’ancrent les racines des dents.
Mais aussi dans l’os alvéolaire de ce même parodonte. Et enfin dans le ligament alvéolo-dentaire qui sert d’ancrage.
Quand j’écris « omniprésence » ! Et c’est toujours le même problème :
En vieillissant, la carence en cette molécule entraîne bien des problèmes : caries, pulpite, parodontose, gingivite, pyorrhée dentaire…
Une supplémentation nutritionnelle est bienvenue, en complément des soins du chirurgien dentaire. Les études cliniques en témoignent.
Votre cœur est un muscle, ne l’oubliez pas, un muscle puissant dont la volumineuse paroi comprend 3 épaisseurs : le péricarde (externe), le myocarde (le plus volumineux) et l’endocarde (interne).
Une étude clinique (référencée plus loin) insiste sur l’importance de cette molécule dans le tissu cardiaque, non seulement celui de la paroi des ventricules et des oreillettes, mais aussi dans celui des valves et des valvules qui jouent un rôle majeur dans le fonctionnement du cœur.
Or chaque jour votre cœur bat plus de 100 000 fois ! Faites le compte :
Il a besoin de parois solides, à la fois souples et résistantes, capables de se contracter avec efficacité 100 000 fois par jour !
Et comme pour tous les autres muscles de l’organisme, la perte constante de cette molécule, qui s’accélère à la cinquantaine, nécessite une supplémentation nutritionnelle.
Elle est absolument vitale pour votre cœur. On verra sous quelle forme idéale il faut l’absorber pour qu’elle remplisse sa fonction à la perfection.
La fonction phénoménale des artères est de permettre au sang, partant du cœur, de rejoindre tous les tissus du corps. Ceci au rythme effréné et répétitif de 70 battements par minutes !
Pour cela la paroi des artères doit être à la fois résistante et flexible. C’est la structure fibreuse de cette molécule qui permet de maintenir cette résistance et cette flexibilité.
En effet elle est le composant majeur des 3 épaisses couches superposées qui constitue la paroi des artères : l’adventice (externe), la media (intermédiaire) et l’endothélium (interne).
Si votre aorte, vos coronaires, vos carotides, vos fémorales… viennent à en manquer, les conséquences sont désastreuses.
Un anévrisme survient, qui est la rupture de la paroi artérielle, ce qui provoque une hémorragie interne gravissime. En prévention d’un tel risque létal, l’appauvrissement progressif en cette molécule, quand on prend de l’âge, nécessite une supplémentation nutritionnelle.
Si vous êtes concerné par une alopécie, cette molécule va permettre de stopper la chute et stimuler la repousse.
Elle est en effet l’un des deux composants principaux (avec la kératine) des éléments de la tige des cheveux entourant le canal médullaire : la cuticule externe et le volumineux cortex.
…ceci quel que soit la cause du problème.
Les causes d’une alopécie aiguë, brutale, accidentelle:
Les causes de l’alopécie progressive:
Oui, quelle que soit l’origine de votre problème, cette molécule contribuera à redonner à votre chevelure son volume esthétique, sa souplesse, redevenant facile à coiffer. Elle sublimera son éclat, sa brillance, sa beauté en un mot.
Au fur et à mesure que l’on prend de l’âge, que l’on soit une femme ou un homme, étant donné son déficit qui s’accentue, une supplémentation nutritionnelle en cette molécule s’impose. A condition cependant que ce soit sous une forme bio-assimilable capable de rejoindre le cuir chevelu (puis le cortex et la cuticule des cheveux) une fois absorbée.
Des études cliniques (référencées plus loin) le confirment.
Elle en est le composant principal des ongles avec la kératine, comme les cheveux. Les deux parties de l’ongle (reliées par la lunule) en sont riches :
Une carence de cette molécule a pour conséquences :
Une supplémentation nutritionnelle est recommandée dans ces cas-là pour fortifier vos ongles, les solidifier, les embellir.
On l’appelle, à raison, la molécule antirides.
Notre peau en a un besoin très important, qui s’accroit chaque année qui passe afin de corriger les signes du vieillissement.
Principale molécule du derme, c’est le maillage des fibres entrecroisées de cette précieuse molécule qui confère à la peau :
C’est à 20 ans que la richesse du derme en cette molécule est à son maximum.
Vous avez bien lu : 20 ans. Raison pour laquelle les femmes ont à cette âge-là une jolie peau sans avoir besoin de soins esthétiques.
Hélas, ce « capital jeunesse » ne dure pas longtemps. Après 20 ans, les études cliniques l’affirment, le derme perd chaque année 1% de sa concentration en cette molécule régénératrice. Soit 30% entre 20 et 50 ans.
Le processus s’accélère au-delà de 50 ans, avec une perte pouvant atteindre 2% par an. À 60 ans, une femme a perdu 50% de son capital moléculaire dermo-régénérateur. À 70 ans : 70% ! A 80 ans : 90% !!!
Sans attendre d’avoir 80 ans, dès la trentaine une supplémentation nutritionnelle en cette molécule vitale pour la santé et la beauté de la peau est vivement conseillée.
Une supplémentation devient de plus en plus nécessaire, quand les dizaines s’enchaînent (40-50-60-70…). Cette molécule devenant de plus en plus rare, un apport s’impose sous forme de cures d’une durée proportionnée à l’état de la peau de votre visage et de votre corps en général : cou, seins, ventre, bras, fesses, cuisses.
Pour prendre le seul exemple du visage, les rides sont d’abord de très minces lignes puis surviennent les rides « d’expression » qui correspondent aux mouvements du visage :
Par manque de cette molécule, votre peau devient de plus en plus mince et sèche, perdant de son élasticité. Elle se relâche.
Ce relâchement accentue la marque des rides, par simple effet de pesanteur : les rides ont tendance à s’orienter vers le bas.
Les paupières tombantes et les bajoues sont les autres signes de cette carence moléculaire, la peau n’étant plus suffisamment élastique pour compenser les effets pervers de son relâchement.
Je vais vous dévoiler maintenant une solution naturelle COMPLÉMENTAIRE aux soins externes, scientifiquement validée par quantités d’études cliniques internationales.
Madame, Monsieur, si vous êtes concerné/e par ce problème,
si vous vous ruinez avec des crèmes antirides hors de prix,
si vous vous faites injecter des produits plus chers encore…
… Sans résultats probants…
En suivant une cure prolongée de cette molécule de jouvence, vous allez pouvoir agir à la fois sur votre santé et sur votre beauté.
Pour votre santé et votre beauté. A ce propos, avec une supplémentation orale (interne) de cette molécule dermo-régénératrice plus que jamais l’expression célèbre « La beauté vient de l’intérieur » n’a été justifiée.
Vous allez rajeunir !
Vous allez vivre un authentique rajeunissement… en absorbant chaque matin le contenu d’un flacon qui concentre de grandes quantités de cette molécule véritablement magique pour votre peau.
Il est temps de vous révéler ENFIN le nom de cette molécule pluriactive, multifonctionnelle, ubiquitaire, capable de satisfaire les besoins de votre corps et de combler les carences qui s’aggravent en vieillissant.
C’est la molécule structurante et régénératrice de la peau, des cartilages, des os, des muscles, des tendons, des ligaments, des dents, des cheveux, des ongles, des tuniques artérielles, du cœur… De l’ensemble de l’organisme.
Avant d’aller plus loin, je vais m’effacer pendant un moment afin de laisser la parole aux scientifiques qui ont publié des études cliniques internationales sur les propriétés thérapeutiques du collagène.
L’énumération des pays où ont été publiées ces études est une bonne indication de l’universalité du collagène ayant conduit des laboratoires du monde entier à proposer une supplémentation nutritionnelle : Etats-Unis, Allemagne, Finlande, Angleterre, Autriche, Japon, Taiwan, Iran, Corée du Sud, Australie, Brésil.
Pour chaque étude, qui sera référencée (par un numéro) en fin de document, je vais m’en tenir (par manque de place) à sa conclusion.
Vous trouverez sur le site Nutr’Innov l’intégralité de ces études.
CARTILAGES, arthrose
Etude publiée en 2017 par le département orthopédie du « Medical Center » de Rochester (Etats-Unis) : « La consommation orale quotidienne de collagène est chondro-protectrice et anti-inflammatoire dans le traitement naturel de l’arthrose du genou. »(1)
L’étude conclut : « L’arthrose est une maladie articulaire dégénérative pour laquelle la consommation de collagène est réputée réduire la douleur et exercer une influence positive sur la fonction des cartilages.
Pour évaluer ces effets, nous avons administré par voie orale du collagène pendant 12 semaines dans des cas d’arthrose avec lésion ménisco-ligamentaire du genou droit.
Nos résultats établissent que dans le contexte d’arthrose du genou la consommation orale quotidienne de collagène est chondroprotectrice pour les cartilages articulaires, antalgique et anti-inflammatoire. »
Etude publiée en 2022 par l’Institut de kinésiologie de Université de Stuttgart (Allemagne) : « Le collagène améliore la flexibilité de l’articulation du genou : une étude clinique multicentrique, randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo. »(2)
L’étude conclut : « Des études antérieures soutiennent l’efficacité de la supplémentation en collagène dans la santé des articulations. Le but de cette étude était d’évaluer l’effet du collagène sur la flexibilité du genou.
Cette étude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, a été menée chez 96 sujets ayant une gêne articulaire avec une supplémentation quotidienne pendant 24 semaines.
La flexion et l’extension de l’amplitude de mouvement ont été mesurées à l’aide d’un goniomètre numérique. Une augmentation statistiquement significative de la flexion du genou et de son extensibilité a été observée dans le groupe collagène versus le groupe placebo. »
Etude publiée en 2006 par le Département de santé musculaire et osseuse de l’Université de Sacramento (Etats-Unis) : « Efficacité d’un supplément de collagène dans la modulation des symptômes de l’arthrose du genou : étude multicentrique randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo. »(3)
L’étude conclut : « Le but de cette étude était d’évaluer l’efficacité du collagène pour la douleur de l’arthrose du genou et les symptômes associés par rapport à un groupe placebo et un groupe supplémenté en chlorhydrate de glucosamine et sulfate de chondroïtine.
Au total 196 volontaires ont été randomisés en trois groupes recevant une dose quotidienne de collagène, ou un placebo, ou un mélange de glucosamine-chondroïtine, pendant 180 jours.
Le critère d’évaluation principal était la variation de l’indice d’arthrose total du Western Ontario McMaster (WOMAC). Les autres critères d’évaluation comprenaient l’indice fonctionnel de Lequesne (LFI) et l’échelle visuelle analogique (EVA) pour la douleur.
Résultats : au bout de 180 jours, le groupe « collagène » a démontré une réduction significative des trois critères d’évaluation chez les sujets atteints d’arthrose du genou par rapport aux deux autres groupes. L’administration a été bien tolérée. »
OS, ostéoporose
Etude publiée en 2021 par la Faculté des Sciences de la Vie de l’Université de Vienne (Autriche) : « Collagène dans l’ostéoporose : observation à long terme chez les femmes post-ménopausées. »(4)
L’étude conclut : « Les effets du collagène sur la densité minérale osseuse chez des sujets souffrant d’ostéoporose ont été étudiés chez 32 femmes ménopausées afin de déterminer les effets après 1 an.
Les changements de la densité osseuse dans la colonne vertébrale et le col du fémur ont été évalués, ainsi que le nombre de fractures.
La supplémentation en collagène a entraîné une augmentation cliniquement pertinente de la densité minérale osseuse dans la colonne vertébrale et le col du fémur, la stabilité osseuse étant améliorée.
Le collagène offre une thérapeutique innovante pour un traitement de l’ostéoporose pendant 1 an avec une bonne tolérance, sans les effets secondaires des traitements médicamenteux. »
Etude publiée en 2013 par la Faculté de Médicine de l’Université de Chungbuk (Corée du sud) : « Activité ostéogénique du collagène et son efficacité thérapeutique dans l’os ostéoporotique. »(5)
L’étude conclut :
« L’ostéoporose post-ménopausique se caractérise par une faible densité osseuse et une détérioration de la microarchitecture osseuse, ce qui entraîne une fragilité osseuse accrue et une plus grande susceptibilité aux fractures.
Pour restaurer la perte osseuse, il est besoin de traitements incitant les ostéoblastes à construire de nouveaux os.
Médicalement, le collagène est utilisé depuis longtemps dans les produits pharmaceutiques aux Etats-Unis, améliorant la densité minérale osseuse et la masse osseuse.
Dans l’étude, les effets du collagène ont confirmé une amélioration sensible de la microarchitecture et de la densité minérale osseuse des vertèbres lombaires. C’est une alternative prometteuse aux agents thérapeutiques actuels pour la prise en charge de l’ostéoporose. »
Etude publiée en 2018 par l’Institut de recherche sur le Collagène de Kiel (Allemagne) : « Le collagène améliore la densité minérale osseuse chez les femmes ménopausées. Etude contrôlée randomisée. »(6)
L’étude conclut : « Des investigations ont montré une influence du collagène sur la formation osseuse chez les femmes ménopausées présentant une réduction de la densité minérale osseuse liée à l’âge.
131 femmes d’un âge moyen de 64 ans ont participé à cette étude randomisée, contrôlée par placebo, pendant 1 an. Le critère de jugement était l’évolution du col fémoral, de la colonne vertébrale et du rachis.
Au bout d’1 an, la densité minérale osseuse a augmenté de façon significative chez les femmes ayant suivi la supplémentation de collagène, par rapport au groupe placebo, ce qui en fait un traitement de choix en cas d’ostéoporose. »
MUSCLES, sarcopénie
Etude publiée en 2109 par le département de médecine et nutrition sportive de l’Université de Bochum (Allemagne) : « Effets d’une supplémentation en collagène sur la musculation chez les hommes. »(7)
L’étude conclut : « Des études ont démontré que le collagène augmente la masse musculaire et la force.
25 hommes (poids moyen 79 kg, taille moyenne 1,85 mètre) ont effectué pendant 12 semaines, 3 fois par semaine, durant 60 minutes, un entraînement d’hypertrophie musculaire dont quatre exercices utilisant des haltères, tout en consommant 10 grammes par jour de collagène.
Le protéome musculaire a montré une augmentation de la masse musculaire liée aux fibres et une résistance accrue. »
Etude publiée en 2015 par l’Hôpital universitaire de Fribourg (Allemagne) : « La supplémentation en collagène augmente la force musculaire chez les hommes sarcopéniques. »(8)
L’étude conclut : « L’objectif de cette étude était d’évaluer l’influence d’une supplémentation en collagène par rapport à un placebo sur la masse musculaire et la fonction musculaire.
Au total, 53 hommes d’un âge moyen de 68 ans atteints de sarcopénie ont participé à cette étude randomisée en double aveugle contre placebo.
Tous les participants ont suivi un programme de 12 semaines à raison de 3 séances par semaine et ont reçu soit du collagène soit un placebo. La force cinétique du quadriceps de la jambe droite a été mesurée avant et après les trois mois de l’étude. Tous les hommes supplémentés en collagène ont montré une amélioration significativement élevée de leur force musculaire, leur masse musculaire étant accrue. »
TENDONS, tendinites
Etude publiée en 2019 par le département de médecine du sport de l’Université de Canberra (Australie) : « Supplémentation de collagène et exercices de renforcement du mollet améliorent la fonction et réduisent la douleur chez les patients atteints de tendinopathie d’Achille. »(9)
L’étude conclut : « L’étude pilote a examiné si la supplémentation orale de collagène améliorait les symptômes et la vascularisation des tendons chez les patients atteints de tendinopathie d’Achille.
Les participants ont reçu un placebo ou du collagène en association avec un programme biquotidien de renforcement des mollets pendant 6 mois.
Nous concluons que la supplémentation orale en collagène accélère les avantages d’un programme de renforcement des mollets et de retour à la compétition chez les patients atteints de tendinopathie d’Achille. »
Etude publiée en juillet 2022 par le département de Neurosciences et des Sciences du Mouvement de l’Université de Fribourg (Suisse) : « Effets d’une supplémentation en collagène combinée à un entraînement en résistance sur les propriétés du tendon d’Achille. »(10)
L’étude conclut : « Le but de cette étude était d’étudier l’effet du collagène combiné à un entraînement en résistance sur les modifications des propriétés tendineuses et musculaires.
Dans une étude randomisée et contrôlée par placebo, 40 volontaires masculins ont suivi un programme d’entraînement en résistance à charge élevée de 14 semaines. Un groupe a reçu une dose quotidienne de collagène tandis que l’autre groupe a reçu un placebo.
La rigidité du tendon, la force musculaire et l’épaisseur des fléchisseurs plantaires ont eu une amélioration significative dans le groupe « collagène » au bout des 14 semaines. »
DENTS
Etude publiée en 2022 par le département matériaux dentaires de la Faculté de dentisterie de l’Université de Tabriz (Iran) : « Application du collagène en dentisterie régénérative. »(11)
L’étude conclut : « Le collagène est une importante molécule de la matrice extracellulaire des dents et des articulations temporo-mandibulaires. Les biomatériaux à base de collagène pourraient être efficaces pour les applications de dentisterie régénérative.
Ils sont biocompatibles pour favoriser la cicatrisation des plaies dans la région cranio-faciale. Cette étude confirme la corrélation entre le collagène et la régénération du parodonte, du complexe dentine-pulpe et de l’articulation temporo-mandibulaire. »
Etude publiée en 1992 par le département de Radiologie et Pathologie dentaire de l’Université d’Helsinki (Finlande) : « Localisation du collagène dans les dents et le ligament parodontal. »(12)
L’étude conclut : « Le collagène a été localisé en concentrations diverses au moyen d’anticorps polyclonaux.
Cela concerna les différents tissus, aussi bien dans les dents, la pulpe, le cément, l’os alvéolaire, le ligament parodontal.
Dans les tissus dentaires non minéralisés, une bonne localisation du collagène fut également mesurée. »
CICATRISATION
Etude publiée en 2017 par le département chirurgie de la Faculté de médecine de l’Université de Nashville (Etats-Unis) : « Défi de la supplémentation en collagène pour la cicatrisation des plaies. »(13)
L’étude conclut : « En cas de plaie, la synthèse de collagène est un facteur important dans le rétablissement de l’intégrité tissulaire, favorisant la cicatrisation selon une cascade bien orchestrée d’événements biochimiques. La plupart des plaies guérissent grâce à la formation de tissu cicatriciel composé principalement de collagène.
Une supplémentation en collagène a été évalué avec succès. »
Etude publiée en 2014 par le département biochimie de l’Université du Wisconsin de Madison (Etats-Unis) : « Biomatériaux à base de collagène pour la cicatrisation des plaies. »(14)
L’étude conclut : « Le collagène est le matériau de choix pour les applications de cicatrisation des plaies et d’ingénierie tissulaire.
Dans notre étude, nous avons expérimenté l’utilisation du collagène dans les éponges, les injectables, les films, les membranes, les pansements et les greffes de peau. Le collagène peut être employé comme pylône pour ancrer les agents cyto-actifs, favorisant la cicatrisation. »
COEUR
Etude publiée en 2022 par la Faculté de médecine de l’Université de Louisville (Etats-Unis) : « Le collagène régule la structure de la matrice cardiaque extracellulaire et la fonction ventriculaire. »(15)
L’étude conclut : « La matrice extracellulaire cardiaque joue un rôle essentiel dans l’homéostasie. Des rapports récents sur l’expression du collagène dans le cœur adulte et la preuve de son expression accrue dans l’ischémie cardiaque suggèrent des fonctions importantes pour cette structure et la fonction cardiaque.
Sur la base d’analyses écho-cardiographiques et histologiques, nous avons observé qu’un déficit de collagène entrainait une fonction systolique réduite et un amincissement des parois ventriculaires. Nous témoignons que le collagène participe à la régulation de la structure et de la fonction cardiaques. »
CHEVEUX, alopécie
Etude publiée en 2022 par l’Université Chung-Ang de Gyeonggi (Corée du sud) : « Effets du collagène favorisant la croissance des cheveux dans les cellules de la papille cutanée humaine. »(16)
L’étude conclut : « Cette étude visait à évaluer les effets du collagène sur la croissance des cheveux, s’effectuant au niveau du cuir chevelu.
Le traitement oral, pendant 6 semaines, a augmenté les facteurs de croissance des cheveux et a diminué le facteur inhibiteur de croissance.
Ces résultats indiquent que le collagène pourrait être utilisé comme complément alimentaire et nutraceutique pour la prévention de la chute des cheveux et la repousse des cheveux pendant l’alopécie. »
Etude publiée en 2014 par le département Biochimie de l’Université d’Arkansas, Fayetteville (Etats-Unis) : « Traitement et prévention de l’alopécie induite par la chimiothérapie avec un analogue de l’hormone parathyroïdienne permettant la synthèse de collagène. »(17)
L’étude conclut : « L’alopécie est une complication psychologiquement dévastatrice de la chimiothérapie pour laquelle il n’existe actuellement aucun traitement efficace. Un analogue de l’hormone parathyroïdienne permettant la synthèse de collagène s’est révélé prometteur comme traitement des troubles de l’alopécie.
Cette étude a révélé que ce traitement a été efficace à la fois dans la prévention et le traitement de l’alopécie induite par la chimiothérapie. C’est prometteur pour l’amélioration de la qualité de vie des patients atteints de cancer traités par chimiothérapie. »
ONGLES
Etude publiée en 2017 par le Centre dermatologique de Porto Alegre (Brésil) : « La supplémentation orale de collagène améliore la croissance des ongles et réduit les symptômes des ongles cassants. »(18)
L’étude conclut : « L’objectif de cette étude était de déterminer si une supplémentation orale quotidienne avec du collagène atténue les symptômes des ongles cassants et améliore la croissance des ongles.
Au total 25 participantes ont pris du collagène une fois par jour pendant 6 mois. Le taux de croissance des ongles et la fréquence des ongles fissurés et/ou ébréchés ainsi qu’une évaluation des symptômes et le score d’amélioration clinique globale des ongles cassants ont été évalués par un médecin pendant le traitement.
Résultat : 88 % des participantes ont obtenu une amélioration clinique globale des ongles cassants. Les participantes ont convenu que l’utilisation du collagène améliorait l’apparence de leurs ongles et elles furent entièrement satisfaites de la performance du traitement. »
PEAU, fonction anti-âge
Etude publiée en 2016 par le Centre de Médecine anti-âge de Berlin (Allemagne) : « Effet anti-âge cutané du collagène. »(19)
L’étude conclut : « Le développement et la recherche de nutraceutiques à base de collagène se sont développés en raison de leur innocuité, de leur biodisponibilité et de leurs nombreuses bio-activités.
Dans cette étude clinique, du collagène a été administré pendant 3 mois à 41 femmes volontaires. Les propriétés de la peau (humidité, élasticité, production de sébum et âge biologique) et les marqueurs (épaisseur épidermique/dermique) ont été mesurés après la prise orale de 3 mois.
La supplémentation s’est montrée remarquablement bénéfique pour l’élasticité de la peau, la régulation du sébum et les marqueurs dermatologiques dont les données métaboliques ont montré une amélioration significative. »
Etude publiée en 2020 par le Centre de recherche dermatologique de Taipei (Taiwan) : « Boisson au collagène anti-âge : anti-oxydation, augmentation de la synthèse du collagène et amélioration de la réparation de l’ADN dans les fibroblastes de la peau humaine. »(20)
L’étude conclut : « Cette étude a expérimenté le collagène pour l’amélioration du vieillissement cutané. Pour délimiter la perspective sur le retardement du vieillissement cutané, nous avons inspecté les cellules de fibroblastes du derme sous les aspects moléculaires.
Les résultats montrent que la boisson au collagène a des effets anti-âge sur la matrice extracellulaire du derme, l’augmentation de l’activité mitochondriale et l’amélioration de l’expression concernant la réparation des mésappariements d’ADN.
Ces résultats positifs démontrent l’influence du supplément oral de collagène hydrolysé pour l’antivieillissement dermatologique. »
Etude publiée en 2014 par le « Minerva Reseach Labs » de Londres (Royaume-Uni) : « La consommation quotidienne d’un supplément de collagène réduit les signes du vieillissement de la peau. »(21)
L’étude conclut : « Avec l’âge, les changements dans les processus métaboliques des composants structurels de la peau entraînent des signes visibles de vieillissement, tels qu’une sécheresse accrue et la formation de rides. Une étude a été menée pour étudier les effets d’un complément nutritionnel à base de collagène sur la peau.
La supplémentation quotidienne a entraîné une réduction notable de la sécheresse de la peau, des rides et de la profondeur du pli naso-labial.
De plus, une augmentation significative de la fermeté de la peau a été observée après 12 semaines. Les données de cette étude suggèrent que cette supplémentation en collagène peut contrecarrer les signes du vieillissement de la peau. »
Etude publiée en 2019 par l’Institut de Biométrie et recherche clinique de l’Université de Münster (Allemagne) : « Un supplément de collagène améliore l’hydratation, l’élasticité, la rugosité et la densité de la peau : étude randomisée, contrôlée par placebo. »(22)
L’étude conclut : « Le but de cette étude randomisée, contrôlée par placebo et à l’aveugle était d’étudier les effets d’une supplémentation en collagène sur le vieillissement cutané et la santé de la peau.
Cet essai contrôlé a été réalisé sur 72 femmes âgées de 35 ans ou plus. Elles ont reçu soit le complément alimentaire à base de collagène soit un placebo pendant 12 semaines. Une évaluation de la peau a été réalisée avec la cornéométrie (hydratation de la peau), la cutométrie (élasticité), des mesures optiques (rugosité), l’échographie (densité).
Le produit a considérablement amélioré l’hydratation, l’élasticité, la rugosité et la densité de la peau. Les différences avec le groupe placebo furent statistiquement significatives pour tous les paramètres du test. »
Etude publiée en 2108 par l’Institut de recherche Sakae de Nagoya (Japon) : « L’apport oral de collagène améliore l’hydratation, l’élasticité, et les rides dans la peau humaine : une étude randomisée, en double aveugle et contrôlée par placebo. »(23)
L’étude conclut : « Le but de cette étude était de mener un essai en double aveugle, randomisé et contrôlé par placebo pour évaluer cliniquement l’effet du collagène sur l’hydratation, les rides et l’élasticité de la peau humaine.
64 femmes ont été réparties au hasard pour recevoir soit un placebo, soit 10 grammes de collagène par jour pendant 12 semaines. Les paramètres d’hydratation, de rides et d’élasticité de la peau ont été évalués.
Concernant le groupe « collagène », le score d’évaluation visuelle des paramètres de rides de la peau ont été significativement améliorés par rapport au groupe placebo. L’hydratation et l’élasticité de la peau furent elles aussi améliorées de façon significative. En termes de sécurité, aucun symptôme indésirable n’est survenu. »
Etude publiée en 2020 par l’Institut de recherche dermatologique de Hambourg (Allemagne) : « Un dermo-nutriment contenant du collagène améliore la structure et la fonction de la peau : essai randomisé, contrôlé par placebo. »(24)
L’étude conclut : « Le but de cet essai randomisé, contrôlé par placebo et en double aveugle sur 60 femmes volontaires était d’évaluer les effets cosmétiques sur la qualité de la peau d’un complément alimentaire contenant du collagène après une prise de 12 semaines.
L’évaluateur expert a évalué les images de microscopie focale à balayage laser qui ont montré une amélioration significative de la structure de la peau du visage (critère principal) après la prise du produit testé, alors qu’aucune amélioration n’a été constatée après la prise du placebo.
L’effet nutritionnel positif prouvé concerna les paramètres cutanés pertinents tels que l’élasticité, les rides et l’uniformité dans différentes zones du corps telles que le visage, les mains, le décolleté, le cou, le dos, les jambes et le ventre. Le produit testé s’est avéré sûr et très bien toléré. Une amélioration cosmétique de la peau du visage a été démontrée après l’administration du collagène. »
Etude publiée en 2015 par l’Institut des Sciences biomédicales de l’Université de Sao Paulo (Brésil) : « Supplémentation en collagène ayant un effet bénéfique sur l’indice de masse corporelle et la cellulite. »(25)
L’étude conclut : « Dans cette étude clinique, nous avons étudié l’efficacité du collagène sur le traitement de la cellulite chez les femmes en surpoids. Au total, 105 femmes âgées de 24 à 53 ans présentant une cellulite ont été randomisées pour recevoir par voie orale une dose quotidienne de collagène ou un placebo pendant 6 mois.
Le degré de cellulite a été évalué avant le début du traitement, après 3 mois et 6 mois de prise. Le traitement au collagène a entraîné une diminution statistiquement significative du degré de cellulite et une réduction de l’ondulation de la peau sur les cuisses.
De plus, la densité dermique fut significativement améliorée, ainsi que l’aspect de la peau, impact très positif sur la santé de la peau. »
J’espère que la lecture des conclusions de ces études cliniques vous a convaincu des bienfaits du collagène.
Mais je me dois de vous mettre en garde.
Faites très ATTENTION !
Le collagène est actuellement la STAR des réseaux sociaux. Mais on trouve vraiment de tout sur le marché (dans les boutiques, sur Internet). Je devrais dire : n’importe quoi (je parle de la qualité).
Je m’explique. Le collagène « natif » est un ensemble de longues chaînes moléculaires des trois acides aminés qui le composent. Leur poids moléculaire (dépendant du volume) est très important.
Et cela pose un réel problème d’assimilation. Absorber du collagène ne sert à rien, strictement à rien, si l’organisme ne peut pas l’absorber… s’il se retrouve dans les selles au terme de son transit dans le tube digestif.
C’est la paroi de l’intestin grêle qui est l’interface entre le collagène et l’organisme. Or cette paroi, qui forme des plis et des replis (villosités et microvillosités en forme de doigts de gants) est constituée de 3 couches :
Les macromolécules de collagène « natif » sont pratiquement incapables de pénétrer à travers l’obstacle de ces 3 couches successives.
Elles sont beaucoup trop grosses. Seules 10% arrivent à pénétrer !
Nutr’Innov a mis au point un processus qui fragmente les longues chaînes d’acides aminés afin de réduire leur poids moléculaire.
Il s’agit d’une hydrolyse mot dérivé du grec hydro (eau) et lyse (séparation). Ainsi avec l’hydrolyse d’un morceau de sucre (sa solution dans l’eau) le saccharose (de poids moléculaire élevé) se fragmente, produisant des molécules de glucose (de faible poids moléculaire).
L’hydrolyse du collagène que nous opérons (faisant intervenir des enzymes, processus qui est un secret industriel que je ne peux bien évidemment pas vous révéler, de façon à ne pas être copiés) produit un hydrolysat.
Notre hydrolysat de collagène, de très faible poids moléculaire, franchit sans aucun problème les 3 obstacles successifs de la paroi intestinale.
Il se retrouve dans la veine porte qui l’achemine jusqu’au foie.
Le foie fait alors son travail : il le redistribue dans les tissus de l’organisme qui en ont besoin (il est bon de le répéter : la peau, les cartilages, les os, les muscles, les tendons, les ligaments, les dents, les cheveux, les ongles, les tuniques artérielles, le cœur).
Le collagène, nous l’avons vu, étant un peptide, Collagen10G, en exclusivité mondiale, est un hydrolysat peptidique de collagène.
Cet hydrolysat peptidique de collagène est supérieur à toutes les autres formes, très supérieur, puisqu’il est à plus de 90% bio-assimilable.
Rappel : à l’inverse le collagène « natif » n’est assimilable qu’à 10% !
En exclusivité mondiale…
C’est une INNOVATION collagénothérapeutique.
Une authentique prouesse biotechnologique.
10G car 1 seule dose (1 seul flacon par jour) apporte à l’organisme 10 grammes de collagène sous une forme bio-assimilable !!
Pour la 1ère fois au monde une supplémentation en collagène associe 3 actions complémentaires :
Je tiens maintenant à insister sur un point important, qui valide l’efficacité de Collagen10G en comparaison d’autres sources « ordinaires » de collagène.
Dans 1 gélule, il y a en moyenne 330 mg de collagène. Soit 0,3 g (1 gramme = 3 gélules).
Le dosage en collagène, appliqué dans les études cliniques internationales, est de 10 grammes par jour.
C’est-à-dire le contenu de 1 flacon de Collagen10G, équivalent à … 30 gélules !!
Allez-vous prendre 30 gélules de collagène par jour ?
Ou 1 flacon et 1 seul, de Collagen10G, le matin.
Soyons raisonnables. J’imagine votre réponse.
Question de bon sens. Et de confort digestif.
Dont les indications thérapeutiques sont les suivantes :
Je vais maintenant vous présenter les 14 ingrédients associés à notre hydrolat peptidique de collagène (en exclusivité mondiale, je tiens absolument à le redire) afin d’assurer une reprogrammation collagéno-métabolique parfaite.
La silice est le cofacteur structurant de l’organisme avec le collagène.
Une étroite intimité physiologique associe en effet collagène et silice pour l’intégrité des cartilages, des os, des muscles, des tendons, des ligaments, des dents, des cheveux, des ongles… et de la peau, bien sûr.
A une condition, cependant, que cette silice soit bio-assimilable. De la même manière que notre hydrolat peptidique de collagène.
C’est la raison pour laquelle j’ai personnellement choisi la meilleure qualité de silice possible, celle provenant de jeunes pousses de bambou.
C’est cette silice végétalisée, naturelle, bio-assimilable par l’organisme humain que j’ai sélectionnée, de préférence à toute autre source de silice, malgré son prix élevé (par rapport à une silice « ordinaire »). C’était un impératif, pour moi, sur le plan déontologique.
Comme pour tous les autres ingrédients de Collagen10G mon objectif, dans leur choix, fut l’excellence, la garantie d’une efficacité maximale.
La silice s’imposait, sous cette forme végétalisée, comme ingrédient devant être associé au collagène, les deux ayant les mêmes indications thérapeutiques : régénération, revitalisation, action anti-âge.
Et de façon pertinente je me devais de lui associer de la kératine.
La kératine est en effet un composant essentiel de la peau, des cheveux et des ongles, d’où son association logique au collagène et à la silice.
Comme le collagène, il s’agit d’une protéine de structure fibreuse dont les molécules de forme hélicoïdale s’enroulent les unes aux autres pour conférer aux tissus une résistance supérieure, une capacité de traction.
Elle contient une proportion élevée d’acides aminés soufrés, surtout de la cystéine. Mais le même problème se pose qu’avec le collagène.
L’organisme a la capacité d’en faire la synthèse à partir des protéines que renferment les aliments que nous mangeons, mais au fur et à mesure que l’on vieillit cette fonction ralentit. Il devient problématique, en prenant de l’âge, de remplacer la kératine qui se fait rare dans les tissus.
Une supplémentation est nécessaire pour lutter contre le vieillissement de la peau, la chute des cheveux et l’altération des ongles.
Pour sélectionner une source de kératine de qualité supérieure, je me suis détournée des approvisionnements disponibles bon marché : les sabots des mammifères (vaches, chevaux), les cornes, les becs.
Toujours pour une raison déontologique, le cahier des charges de notre département Recherche et Développement m’a conduit à choisir une kératine de très haut de gamme provenant de la laine des moutons.
Et comme pour le collagène et la silice entrant dans la composition de Collagen10G, cette kératine est bio-assimilable.
A savoir qu’elle a la capacité à pénétrer l’interface de l’organisme (les membranes intestinales) pour rejoindre le foie qui la redistribue vers :
Collagène + Silice + Kératine…
Nous sommes très loin du compte des ingrédients complémentaires, associés dans un flacon de Collagen10G.
L’acide hyaluronique est à la mode depuis plusieurs années, dans les cliniques de chirurgie esthétique et les cabinets des rhumatologues.
Je ne veux pas développer cet usage que je conteste, en tant que femme.
NON à de telles injections d’acide hyaluronique, OUI à une cure massive (10 grammes par jour) et prolongée de Collagen10G
Cette lubrification articulaire est bénéfique.
Tout comme en remplacement de l’usage esthétique que je désapprouve, en cas d’arthrose on peut apporter des quantités suffisantes d’acide hyaluronique en faisant une cure massive et prolongée de Collagen10G.
De quoi s’agit-il ? L’acide hyaluronique est un glycosaminoglycane. Dans l’articulation, il constitue la matrice extracellulaire qui englobe le collagène et l’élastine constituant les cartilages.
C’est un liquide visqueux, ayant la consistance filante du blanc d’œuf. Il a vis à vis des cartilages la même fonction que l’huile dans un moteur. Un moteur privé d’huile ne peut pas fonctionner.
Des cartilages en manque d’acide hyaluronique ne peuvent plus remplir leur fonction d’amortisseurs chargés de séparer les os de l’articulation.
C’est la membrane synoviale tapissant la capsule articulaire qui sécrète l’acide hyaluronique (ce pourquoi on l’appelle aussi liquide synovial). Mais lorsqu’elle est attaquée par les débris de cartilages aux arêtes tranchantes et qu’une fluxion articulaire se développe (inflammation douloureuse) elle n’arrive plus à produire ce précieux lubrifiant.
Une supplémentation devient cruciale, d’une durée physio-dépendante du stade de l’arthrose : 3 mois… 6 mois… 12 mois.
Collagène + Silice + Kératine + Acide hyaluronique…
Pour rien au monde je n’ai voulu en rester là quand j’ai piloté les travaux de l’équipe pluridisciplinaire qui a formulé Collagen10G.
Le théier (Camellia sinensis) possède, nous le savons, des feuilles que l’on fait fermenter après la cueillette afin d’obtenir le thé noir, celui qui est consommé en infusion, la deuxième boisson au monde après l’eau.
Pour son utilisation thérapeutique, on ne procède pas à cette fermentation.
On fait simplement sécher les feuilles, obtenant ce que l’on nomme le thé vert, les actifs non fermentés ayant gardé leurs valeurs :
L’épigallocatéchine-gallate (en abrégé : EGCG) est reconnu scientifiquement pour sa propriété précieuse, dans le contexte des tissus conjonctifs : il inhibe l’action de la collagénase.
La collagénase est une enzyme qui provoque la rupture des liaisons peptidiques du collagène, ce qui entraine sa désintégration.
L’enzyme collagénase, considérée comme une exotoxine, agit effectivement en décomposant les molécules de peptides. Cette déstructuration enzymatique affecte l’intégrité du tissu dans lequel le collagène est prépondérant : cartilages, peau, os, dents, muscles …
En s’opposant à cette action destructrice de la collagénase, l’EGCG que concentre le thé vert remplit une mission louable.
C’est la raison pour laquelle j’ai vivement souhaité sa présence dans la globale formule de Collagen10G.
Les pépins de raisin sont devenus des « stars » de la nutrithérapie contemporaine pour leur concentration exceptionnelle en polyphénols, ces molécules aux précieuses fonctions anti-oxydantes :
Les oligoproanthocyanidines (OPC) sont les « marqueurs » spécifiques des pépins de raisin, en comparaison d’autres sources de polyphénols. Ils jouent un rôle essentiel dans le maintien de la structure des tissus conjonctifs, principalement dans celui du collagène.
Les OPC stimulent en effet la synthèse du SOD (Superoxyde Dismutase) dont l’action anti-oxydante protège les molécules de collagène contre la désintégration provoquée par les radicaux libres les plus offensifs (le superoxyde O2, l’hydroxyle HO, l’oxygène singulet).
La neutralisation des radicaux libres par les OPC est emblématique de la lutte antivieillissement de la peau, des cartilages, des os, des muscles …
Sans parler d’une autre fonction qui va dans le même sens anti-âge. Les OPC activent en effet l’expression des célèbres gènes de la longévité, les sirtuines (dont le SIRT1) qui s’opposent à la sénescence cellulaire, favorisent la genèse des mitochondries, stimulent la résistance au stress.
Autant de raisons supplémentaires pour justifier la présence des pépins de raisin, qui en sont riches, dans Collagen10G.
Il m’a semblé pertinent d’associer aux pépins de raisin l’oligoélément « phare » de tout protocole antivieillissement, le sélénium.
Il a effectivement la même puissante fonction anti-oxydante. Ce métalloïde proche du soufre fait écran aux réactions en chaîne agressives qui provoquent le stress oxydatif.
Pour prendre un exemple, le sélénium s’oppose aux radicaux libres qui s’attaquent à l’architecture moléculaire des cartilages articulaires (collagène, élastine, glycosaminoglycanes).
Autre action : le sélénium neutralise la formation de la lipofuscine, agrégats de molécules d’acides gras oxydées qui asphyxient le derme, désagrègent l’épithélium de la peau et l’endothélium vasculaire.
Sans oublier sa fonction immunostimulante qui accroit la sécrétion de lymphocytes, les valeureux soldats de la lutte antibactérienne.
Et sa fonction anti-inflammatoire, puisqu’il est réputé stimuler la synthèse des prostaglandines.
Le zinc est un sel minéral qui a une importance vitale puisqu’il entre dans la composition d’une centaine d’enzymes régulant le bon fonctionnement de l’organisme.
Dont l’une d’entre elles qui intervient de façon spécifique dans la synthèse du collagène, la carboxypeptidase.
Cette enzyme méconnue facilite le catabolisme protéique. C’est-à-dire la fragmentation des macromolécules de protéines en acides aminés de faible poids moléculaire, le collagène en agglomérant trois d’entre eux sous forme d’un peptide bio-assimilable.
On trouve par ailleurs du zinc dans quantité de produits de soins dermatologiques destinés à traiter l’acné, l’eczéma, le psoriasis, le vitiligo, mais aussi la cellulite et les vergetures.
Sans parler de son action pour accélérer la cicatrisation des plaies ou la régénération de la peau en cas de brûlure.
La consolidation des fractures est une autre de ses indications.
Et on trouve encore du zinc dans les produits de soins capillaires, ayant la réputation scientifiquement validée de stopper la chute des cheveux.
Autant de raisons de retrouver le zinc dans Collagen10G.
Le cuivre est reconnu comme un catalyseur majeur. Sa polyvalence se traduit par de multiples fonctions bénéfiques.
C’est un anti-infectieux (antibactérien et antiviral), un immunostimulant. Il a sa raison d’être dans Collagen10G pour deux raisons principales.
A l’instar de la vitamine C, il contribue à la synthèse du collagène par les cellules spécialisées qui en sont chargées : les fibroblastes de la peau, les ostéoblastes des os, les chondroblastes des cartilages.
La structure de la peau, des os et des cartilages est consolidée.
C’est un puissant anti-inflammatoire. Ainsi, en cas d’arthrose, il permet d’éteindre le « feu » articulaire. Cette image évoque la fluxion douloureuse qui fait gonfler et rougir une articulation dont les cartilages sont en miettes. Le cuivre est le véritable pompier anti-arthrosique.
Des millions des personne ayant des rhumatismes, dans le monde, femmes et hommes confondus, portent au poignet un bracelet de cuivre et en sont satisfaits. Diffusant à travers les pores de la peau, le cuivre rejoint les tissus enflammés et exerce son action anti-inflammatoire.
Je me tenais d’évoquer ces bracelets de cuivre afin de rendre compte de cette vertu qui leur est attribuée. Mais n’est-il pas plus simple d’en bénéficier en consommant chaque matin un flacon de Collagen10G ?
La présence de vitamine C s’imposait dans la formule Collagen10G pour une fonction dont on parle peu : elle favorise la synthèse de collagène :
Avec un flacon de Collagen10G, chaque matin, vous faites coup double :
Ainsi, le matin, quand vous allez vous abreuver de Collagen10G, j’espère que vous aurez en mémoire tous les bienfaits, pour l’ensemble de votre organisme, de ce précieux apport vitaminique :
Anti-oxydante, elle s’oppose aux processus du vieillissement.
Immunostimulante, elle est un agent majeur de la protection contre les maladies infectieuses, aussi bien bactériennes que virales.
Tonique, revitalisante, c’est la vitamine clé des personnes fatiguées.
Ce sont les fruits (en priorité les agrumes) et les légumes qui concentrent le maximum de vitamine C.
Certaines personnes ont des besoins accrus :
Les indications de la vitamine C sont multiples :
Autant d’indications qui viennent s’ajouter à celle justifiant sa présence dans Collagen10G, la synthèse du collagène.
Je me devais d’ajouter de la vitamine E dans Collagen10G car elle renforce davantage encore l’action anti-oxydante / anti vieillissement des autres ingrédients ayant la même action qui lui sont associés.
La vitamine E additionne 4 molécules liposolubles complémentaires : alpha-tocophérol, bêta-tocophérol, gamma-tocophérol, delta-tocophérol.
Elle confère à la composante lipidique des membranes cellulaires (qui sont riches en phospholipides) une protection contre le phénomène de peroxydation induit par les radicaux libres.
La peroxydation s’apparente au rancissement d’un corps gras comme le beurre par exemple. Du beurre rance est inconsommable : il a mal vieilli.
Une membrane peroxydée c’est la même chose, traduisant une sénescence. C’est pourquoi les dermatologues prescrivent de la vitamine E dans les cas de vieillissement prématurés ou accélérés de la peau.
La vitamine E, une fois absorbée, rejoint le derme et les tissus conjonctifs pour assurer leur intégrité.
Ces vitamines appartenant à ce que l’on nomme le « Groupe B » ont des indications justifiant leur présence dans Collagen10G.
La vitamine B1 (thiamine) est un cofacteur de la synthèse d’un neuromédiateur important, l’acétylcholine. Elle intervient dans la régulation du vieillissement de l’organisme.
La vitamine B8 contribue à la régénération des cellules de la peau et des cheveux, favorisant à ce titre leur repousse en cas d’alopécie.
La vitamine B9 (acide folique) et la vitamine B12 (cobalamine) sont intimement associées par leur qualification antianémique.
Elles sont entre autres raisons, prescrites par les hématologues aux personnes manifestant des troubles liés au vieillissement des tissus.
Vous comprenez mieux, maintenant, après avoir pris connaissance des propriétés des 14 ingrédients associés à notre hydrolysat peptidique de collagène pourquoi on peut parler de reprogrammation collagéno-métabolique.
1 flacon de Collagen10G apporte simultanément :
Cette triple « mobilisation collagénothérapeutique » induit ce que l’on peut qualifier en terme scientifique de reprogrammation collagéno-métabolique.
C’est un grand honneur, pour Nutr’Innov, d’être le premier laboratoire à proposer un complexe aussi actif, un TOTUM THERAPEUTIQUE (hydrolysat peptidique de collagène bio-assimilable + 14 ingrédients).
Notre fidèle clientèle manifeste à cet égard sa gratitude.
« J’entame mon sixième mois de cure et je tenais à vous remercier pour votre élixir de jeunesse. Ma sœur, que je n’avais pas vue depuis Noël, a été stupéfaite quand je l’ai accueillie sur le palier, sortant de l’ascenseur. Elle a applaudi malicieusement en criant : vive la chirurgie esthétique ! Et m’a demandé l’adresse de la clinique, me disant que j’avais rajeunie de 10 ans.
Elle ne voulait pas me croire quand je lui ai dit la vérité, pas de clinique, pas d’injection de je ne sais quel produit, aucune folie de ce genre. Je lui ai parlé de votre collagène enrichi de plein d’ingrédients, lui ai fait déguster un flacon et lui ai donné votre documentation. Elle vous a passé une commande. Elle en a bien besoin, un peu plus âgée que moi, elle a 72 ans, une vilaine peau. »
« J’ai adhéré pour un programme de 1 an et cela me change la vie. Je ne pouvais plus bouger, tant j’avais mal au dos. Même aller jouer à la pétanque avec mes copains m’était interdit, je ne pouvais plus me baisser. Quel bonheur votre Collagen10G ! Je ne prends plus d’Ibuprofène ni d’Efferalgan. J’ai repris une existence normale. Le jardinage, la piscine chez mon fils, la pétanque. »
« Je ne peux plus me passer de votre produit. Chaque matin au saut du lit c’est comme si mon corps me parlait, me demandait d’accélérer le rituel du lever jusqu’au petit-déjeuner. Quand mes papilles gustatives s’imprègnent de ce nectar, c’est une délivrance. J’ai une impression extraordinaire.
Une image me vient : c’est comme si on arrosait un jardin ayant souffert d’une longue sécheresse pendant plusieurs mois. Mon organisme est comme irrigué par ce fluide merveilleux. Mon visage, en particulier, vous dit MERCI. Quand je me regarde dans le miroir de ma salle de bains, je suis tellement heureuse, c’est comme si une éponge magique avec effacé mes pattes d’oie. »
« Je suis vigneron dans le Beaujolais. Tout l’hiver est occupé à tailler ma vigne. Nous avons une propriété de plus de 11 hectares. Or depuis deux ans j’avais de plus en plus mal à me servir de mon sécateur. Cela devenait vraiment insupportable. Le médecin a diagnostiqué un syndrome du canal carpien.
Aux dernières vendanges un voisin m’a conseillé votre Collagen10G. Je viens de terminer ma cure de 6 mois. C’est merveilleux. Je peux à nouveau manipuler normalement mon sécateur et tailler ma vigne sans douleur. »
« Je fais la cure Collagen10G depuis maintenant 6 mois et je la renouvelle de bon cœur tant ses effets sont spectaculaires sur l’épiderme de mon visage repulpé, lissé. Vous n’allez pas me croire. J’ai une fille de 36 ans. L’autre jour, au salon de thé où nous avons nos habitudes, nous avons engagé une conversation avec notre voisine de table à propos de son chien adorable. Elle nous a pris pour deux sœurs, vous imaginez ma surprise et ma joie). »
« Je suis la plus heureuse du monde car je peux à nouveau faire du vélo. Depuis que mon mari est à la retraite, notre plus grand plaisir est de partir sur les routes deux à trois fois par semaine. J’avais dû l’abandonner à cause de mon arthrose du genou. Les infiltrations n’ont donné sans résultat. Sans parler d’une cure de chondroïtine et de glucosamine, sans amélioration. C’est ma coiffeuse qui m’a fait découvrir Collagen10G. Cette cure est d’une efficacité incroyable. Me revoilà sur les routes, c’est un grand bonheur. »
« J’étais en train de devenir chauve, comme mon père. Je n’en reviens pas ! Mes cheveux repoussent à vitesse grand V depuis que j’ai commencé votre cure Collagen10G le mois dernier. J’avais lu un article sur l’alopécie dans le supplément hebdomadaire de mon journal. Il faisait l’éloge du collagène. Cette réputation est justifiée. Je vais inciter mon frère à faire une cure lui aussi. »
« Depuis ma ménopause, je déguste, pardonnez l’expression. Je me suis fracturée le poignet il y a deux ans. Et le col du fémur au mois de décembre dernier. Cette ostéoporose m’empoisonne la vie. Les radios sont effrayantes.
Mes os sont plein de trous. Je vais suivre le programme de 1 an comme vous le préconisez. Je vous remercie d’avoir répondu à ma lettre. J’ai confiance. Cela me redonne le moral de savoir que mes os vont peu à peu se reconstruire. »
« Je ne pouvais plus jouer au tennis depuis des mois à cause d’une tendinite du coude droit qui n’en finissait pas, malgré mes nombreux rendez-vous chez le kiné. Au bout du quatrième mois de la cure, j’ai pu reprendre le chemin des courts et jouer normalement, sans gêne, sans douleur. C’est un véritable miracle. Je me suis inscrit à un tournoi régional le mois prochain. »
« Collagen10G est une bénédiction pour moi. J’ai toujours aimé tricoter mais j’avais dû arrêter. J’ai les doigts tout déformés à cause de mon arthrose qui a empiré depuis un an. Je ne pouvais même plus soulever une casserole ou serrer la main à quelqu’un. Dès les premiers jours de ma cure j’ai senti une différence.
Et je vais de mieux en mieux. Tout rentre dans l’ordre petit à petit. Ma petite fille vient d’avoir un bébé, je vais me régaler. Je vais lui tricoter un cardigan et une gigoteuse, c’est ma spécialité la gigoteuse. »
« Quand j’ai perdu mon mari, il y a 18 mois, mes cheveux sont tombés par poignées. J’étais désespérée. Je n’osais plus me regarder dans une glace. J’ai essayé plusieurs traitements en vain. J’attaque mon 4ème mois de programme, c’est fabuleux. Non seulement mes cheveux repoussent, mais ils sont plus beaux qu’avant, plus volumineux, plus brillants. Je ne sais comment vous remercier. »
« Au bout du 3ème mois de votre programme Collagen10G, j’ai pu reprendre ma randonnée hebdomadaire en Chartreuse dont j’étais privé depuis plusieurs mois. Mes muscles avaient fondu peu à peu depuis trois ans. Moi qui ai fait du rugby quand j’étais jeune, j’étais fier de mes mollets.
Ils étaient devenus fins comme des allumettes, j’exagère à peine. Mon généraliste avait diagnostiqué une sarcopénie. Je vais continuer pendant 1 an car j’ai un objectif, reprendre les sentiers de randonnée aux dénivelés plus importants. La marche me fait du bien. Je vous dis toute ma reconnaissance. »
« J’ai commencé le programme depuis 4 mois, et les résultats sont spectaculaires. Mes rides ont du souci à se faire d’ici un an, c’est la durée que j’ai choisie.
Elles commencent à s’estomper, c’est visible. La peau d’orange de ma cellulite aussi, je vois déjà la différence. Et mes vergetures. J’ai eu 4 enfants, ma peau en porte les traces. Je vous bénis d’avoir mis au point un produit aussi efficace. »
Il est important maintenant de vous rassurer sur plusieurs points afin de pouvoir bénéficier vous-même des bienfaits de Collagen10G en toute confiance.
Innocuité
Fabriqué selon un protocole biotechnologique de standard élevé, Collagen10G offre de multiples garanties, étant :
Cette innocuité vous garantit une sécurité d’emploi maximale.
Ceci à la dose quotidienne recommandée (dose préconisée par les études cliniques internationales) de 1 flacon par jour.
Flacon qui contient, je vous le rappelle :
Au total, pour la 1ère fois au monde : 15 actifs !!!
La prise de Collagen10G est :
C’est à vous d’agir, maintenant…
C’est un moment décisif, Madame, Monsieur, pour vous qui venez de lire mon document sur le collagène.
Je vous ai convaincu, j’espère, sur ses fabuleuses vertus et l’innovation majeure de la forme galénique bio-assimilable de notre produit.
Collagen10G concentre, sous forme liquide, un hydrolat peptidique de collagène. 1 flacon apporte 10 grammes de collagène par jour !
10 grammes/jour
Je me dois de le répéter, c’est important, cet apport quotidien massif, inouï, est l’équivalent d’une prise de 30 gélules de 330 mg !!!
Sans compter que dans le flacon de Collagen10G sont également présents en dose massive 14 autres actifs stimulant la reprogrammation collagéno-métabolique :
1 (hydrolat peptidique de collagène)
+
14 (actifs de reprogrammation collagéno-métabolique)
=
15 (un TOTUM : ce qu’il y a de mieux)
Oui, Collagen10G est le nutriment le plus complet.
Vous pouvez toujours chercher
Vous ne trouverez AUCUNE SUPPLEMENTATION en collagène comparable (10 grammes par jour) associée à 14 actifs de reprogrammation collagéno-métabolique.
Avant de formuler Collagen10G mes collaborateurs du département Recherche et Développement ont fait le tour de toutes les sources de collagène possibles en ayant un objectif pour Nutr’Innov : dépasser tout ce qui s’est fait de mieux jusqu’à ce jour en ce domaine de la supplémentation nutritionnelle en collagène.
Vous avez fait votre choix ?
Je veux dire : 30 gélules par jour, ou 1 flacon.
Flacon contenant non pas 1 seul mais 15 ingrédients !
Par contre, notre stock est limité
Alors que je termine de vous écrire, notre directeur général vient de m’informer par mail que nous avons un stock limité de Collagen10G. Seulement 1 480 boîtes. Pourquoi avons-nous si peu de stock ?
Cette année la récolte de jeunes pousses de bambou a été insuffisante afin de satisfaire les besoins de notre laboratoire, pour des raisons climatiques chez notre fournisseur (longue sècheresse, canicule).
Or nous ne voulons surtout pas changer la formule. La silice du bambou est complémentaire de notre hydrolat peptidique de collagène.
Alors je vous le redis, ne laissez pas passer votre chance. Commandez vite ! Car nous allons être en rupture de stock dans quelques jours, pendant 2 mois (nouvelle récolte des pousses de bambou).
Et notre directeur général, dans ce même mail, me dit qu’on maintient la baisse de prix sur le stock restant, car nous devons respecter l’engament que nous avons pris, notre OFFRE PROMOTIONNELLE étant d’une durée de 1 mois. Lancée il y a trois semaines… il reste 1 semaine.
Vous allez faire des économies énormes !
Je vais maintenant vous dire comment vous procurer Collagen10G.
Avant tout, je vous rassure tout de suite, son prix est extrêmement compétitif, si on se réfère à sa composition. Réfléchissez. Allez dans une pharmacie ou une parapharmacie et achetez 15 piluliers :
Pour un prix moyen de 39 € le pilulier, cela vous coûterait 595 € (39 x 15) pour 1 mois ! Pour 3 mois de cure : 1 785 € ! Pour 6 mois : 3 510 € !!!
Une fortune ! Point de ça avec Nutr’Innov. Ces 15 ingrédients concentrés dans 1 flacon de Collagen10G aux doses recommandées par les études cliniques internationales valent INFINIMENT MOINS CHER.
Le compte à rebours a commencé.
Celui qui précède l’instant où vous allez cliquer sur le lien ci-dessous pour choisir l’offre qui correspond à vos besoins personnels :
À votre âge : 40 ans ? 50 ? 60 ? 70 ? Plus encore ?
À l’état de votre dos, de vos lombaires, de vos cervicales, de vos hanches, de vos genoux, de vos poignets, de vos mains, de vos épaules,
À celui de votre ossature, de vos dents,
À celui de vos muscles, de vos tendons, de vos ligaments,
À celui de vos artères, de votre cœur,
À celui de vos cheveux, de vos ongles,
À l’aspect (suite au vieillissement) de votre visage, de votre cou, de vos seins, de votre ventre, de vos fesses, de vos cuisses …
Une chose encore, avant de cliquer sur le lien.
Si vous vous pensiez un peu à vous !
À ce que vous avez de plus précieux : votre santé.
Sans oublier votre beauté (action anti-âge/peau).
C’est à VOUS maintenant de prendre l’initiative sans aucun engagement, sans risquer le moindre centime, en profitant de tous les avantages que nous vous offrons.
C’est très simple. Il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous et de choisir l’offre qui vous correspond.
Grâce à notre garantie à vie 100% satisfait ou remboursé à vie, vous allez pouvoir tester l’efficacité de votre cure Collagen10G sans risquez le moindre centime. Si vous estimez que votre cure n’a pas eu les effets que vous espériez :
Je vous remercie pour votre attention,
Sophie Berthier
Experte en Micronutrition et spécialiste en Phytothérapie
P.S. : Retrouvez dans notre formule Collagen10G, les actifs les plus efficaces au monde pour vous faire du bien.
En commandant aujourd’hui votre formule Collagen10G, vous profitez d’une offre découverte à prix exceptionnel. Votre commande est garantie 100% Satisfait ou Remboursé à vie !
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et éco-responsable
Références des études cliniques
(1) Daily oral consumption of hydrolyzed collagen is chondroprotective and anti- inflammatory in posttraumatic osteoarthritis. Qurratul-Ain Dar, Eric M. Schott1, Sarah E. Catheline, Robert D. Maynard, Zhaoyang, Fadia Kamal, Christopher W. Farnsworth, John P. Ketz, Robert A. Mooney, Jennifer H. Jonason, Janne Prawitt, Michael J. Zuscik. PLoS ONE 12(4): e0174705. April 6, 2017.
(2) Undenatured Type II Collagen for Knee Joint Flexibility: A Multicenter, Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Clinical Study. Christiane Schön, Katharina Knaub, Wilfried Alt, Shane Durkee, Zainulabedin Saiyed, Vijaya Juturu. J. of Integrative medicine, Vol 28, N°6, 2022, pp. 540–548.
(3) Efficacy and tolerability of an undenatured collagen supplement in modulating knee osteoarthritis symptoms: a multicenter randomized, double-blind, placebo-controlled study. James P. Lugo, Zainulabedin M. Saiyed, Nancy E. Lane. Lugo et al. Nutrition Journal (2016) 15:14.
(4) Specific Collagen Peptides Improve Bone Mineral Density and Bone Markers in Postmenopausal Women. A Randomized Controlled Study. Daniel König, Steffen Oesser, Stephan Scharla, Denise Zdzieblik, Albert Gollhofer. Nutrients 2018, 10, 97.
(5) Osteogenic Activity of Collagen Peptide via Pathway Mediated Boosting of Collagen Synthesis and Its Therapeutic Efficacy in Osteoporotic Bone by Back-Scattered Electron Imaging and Microarchitecture Analysis. Hye Kyung Kim, Kang-Hyun Leem. Molecules 2013, 18, 15474-15489.
(6) Specific Collagen Peptides Improve Bone Mineral Density and Bone Markers in Postmenopausal Women. A Randomized Controlled Study. Daniel König, Steffen Oesser, Stephan Scharla, Denise Zdzieblik, Albert Gollhofer. Nutrients 2018, 10, 97.
(6) Effects of 12 Weeks of Hypertrophy Resistance Exercise Training Combined with Collagen Peptide Supplementation on the Skeletal Muscle Proteome in Recreationally Active Men. Vanessa Oertzen-Hagemann, Marius Kirmse, Britta Eggers, Kathy Pfeiffer, Katrin Marcus, Markus de Marées, Petra Platen. Nutrients. 2019 May 14;11(5):1072.
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(9) Oral Supplementation of Specific Collagen Peptides Combined with Calf-Strengthening Exercises Enhances Function and Reduces Pain in Achilles Tendinopathy Patients. Stephan F.E. Praet, Craig R. Purdam, Marijke Welvaert, Nicole Vlahovich, Gregg Lovell, Louise M. Burke, Jamie E. Gaida, Silvia Manzanero, David Hughes, Gordon Waddington. Nutrients 2019, 11, 76.
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(11) Application of Collagen and Mesenchymal Stem Cells in Regenerative Dentistry. Mohammad Samiei, Mahdieh Alipour, Khadijeh Khezri, Yalda Rahbar Saadat, Haleh Forouhandeh, Elaheh Dalir Abdolahinia, Sepideh Zununi Vahed, Solmaz Maleki Dizaj. Stem Cell Res Ther, 2022;17(7):606-620.
(12) Immunohistochemical localization of collagen in human permanent teeth and periodontal ligament. P L Lukinmaa, J Waltimo. J Dent Res. 1992 Feb;71(2):391-7.
(13) Proline Precursors and Collagen Synthesis : Biochemical Challenges of Nutrient Supplementation and Wound Healing. Vance Albaugh, Kaushik Mukherjee, Adrian Barbul. American Journal of Nutrition 2017, October 4,10/3945.
(14) Collagen-Based Biomaterials for Wound Healing. Sayani Chattopadhyay, Ronald Raines. Biopolymers. 2014 August ; 101(8): 821–833.
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