L’histoire commence avec ma grand-tante… J’aurais tellement aimé la connaître de son vivant. Car, d’après ce qu’en racontait ma grand-mère, il devait s’agir d’une femme formidable. Une femme au grand cœur, « aussi grand que la ville d’où elle venait. » « Une femme merveilleuse qui avait les deux pieds sur terre. Qui aimait la vie et débordait de vitalité. Jusqu’à ce qu’elle commence à souffrir ! » Aujourd’hui encore, ma grand-mère a du mal à en parler lorsqu’elle raconte comment cette femme, autrefois si optimiste, s’est de plus en plus retirée de la vie active à cause des douleurs articulaires dont elle souffrait. Comment elle s’est de plus en plus isolée parce qu’elle ne pouvait tout simplement plus prendre part à ses petits riens qui font le quotidien. Parce que la douleur dictait le rythme de ses jours, de ses nuits et de ses semaines. Encore toute jeune fille, j’écoutais, emplie de gravité et les yeux écarquillés, les récits concernant ma grand-tante. Car déjà à cette époque, j’avais compris que pour les personnes dont les journées se déroulent sous le diktat de la douleur, la liberté et l’insouciance n’existent plus. Ne laissez jamais la douleur dicter votre vie ! Vous connaissez peut-être déjà cette sensation : il existe les « bons jours ». Ce sont les jours où les articulations sont plus souples que d’habitude. Et la douleur est également moins forte. On reprend espoir. On se dit : « Ça va à nouveau mieux. » Puis, pourtant, elle resurgit. Lors des « mauvais jours », elle revient impitoyablement. L’arthralgie avec toutes les limites et la perte de mobilité qui vont avec. Frustration, tristesse, et plus de joie de vivre… Pourquoi je vous raconte ceci ? Parce qu’il existe enfin maintenant une fin à vos souffrances. Même si votre médecin vous a dit : « On ne peut rien faire contre vos douleurs – c’est tout simplement l’usure ! » Je vous le promets : après cette lecture, tout va changer ! “Grâce à cette découverte révolutionnaire, vous ne connaîtrez bientôt plus aucune douleur liée à l’arthrose, l’arthrite, aux rhumatismes ou à l’usure et limitant votre mobilité !” Et c’est précisément la raison pour laquelle je vous écris aujourd’hui ! C’est vrai. Aujourd’hui plus personne ne devrait souffrir à cause de douleurs permanentes. D’ici quelques minutes, vous allez savoir pourquoi la douleur peut enfin être interrompue de manière tout à fait naturelle. Et durablement ! Mais laissez-moi d’abord vous raconter rapidement la fin de l’histoire de ma grand-tante et vous montrer ainsi pourquoi ce triste événement se termine avec une victoire aussi incroyablement efficace dans le domaine de la recherche moderne sur la douleur. Les choses ont évolué ainsi : Après trois longues et dures années, marquées par la douleur, la tristesse et la solitude, on a un jour trouvé ma grand-tante dans son appartement. Elle avait abandonné le combat contre l’arthrose qui se faisait de plus en plus sentir… et ma grand-mère avait perdu sa sœur pour toujours… L’histoire aurait pu se terminer ici. Mais un tournant fatidique a marqué le début de cette plus grande percée de la recherche sur la douleur. Je m’en rappelle encore comme si c’était hier. C’était en 1990. Ma grand-mère était assise sur le canapé de son salon, livide et décontenancée. Elle tenait à la main la lettre de son médecin. Sa main tremblait. Elle m’a dit d’une toute petite voix : « Ça y est, maintenant c’est mon tour. Je souffre d’une forte arthrose et de graves rhumatismes inflammatoires dans les jambes et les mains. Le docteur dit qu’il n’existe aucun moyen de guérison. » Depuis toute petite je rêvais de devenir une scientifique qui consacrerait toute sa vie à soigner les gens et à apaiser leurs douleurs. Pour que le destin de ma grand-tante ne se reproduise plus jamais pour personne ! Et voilà que d’un coup, cela tombait sur ma grand-mère… Ma grand-mère que j’adorais par-dessus tout ! En la regardant, blanche comme un linge sous l’effet de la peur et tremblante sous le coup de l’émotion, j’ai senti son désespoir face à la douleur à venir et à la perte progressive de sa mobilité. J’ai alors fait la seule chose à faire dans une telle situation : Je me suis jurée : « Tu trouveras une solution pour son arthrose. Tu ne permettras jamais qu’il arrive à ta grand-mère et à d’autres personnes la même chose qu’à ta grand-tante… » C’était en 2000. J’avais 28 ans à l’époque. Ma grand-mère en avait 72. Nous sommes aujourd’hui en 2023. Je vais avoir 52 ans – et ma grand-mère affiche fièrement ses 96 ans. Elle se porte comme un charme et « respire la santé ». ✓ Des douleurs d’arthrose ? Aucune trace. ✓ L’ostéoporose liée à l’âge ? Aucun signe. ✓ Des rhumatismes ou la goutte ? Rien à signaler. ✓ Une mobilité limitée ? Son médecin est toujours aussi étonné et stupéfait quand il voit comment ma grand-mère est alerte avec ses 96 ans… Bien, maintenant vous connaissez toute l’histoire. Et à partir de maintenant, il n’est plus question de ma grand-tante, ni de ma grand-mère – à partir de maintenant il s’agit de vous :